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10 - BARCELOS

Publié le par nomades5876

Les panneaux des associations

Les panneaux des associations

Mercredi 15 et jeudi 16 mai 2024 :

Mercredi, journée encore peu ensoleillée, pendant une éclaircie, nouvelle promenade sous les pins, dans l’embouchure di Mino, avec les pilotes de petites barques, qui se proposent de faire traverser les pélerins (pour 10 €). Puis dernières emplettes au marché de Caminha. On y fait provision de saucisses, saucissons et citrons (5kg). L’après midi, sous un ciel menaçant, nous partons à l’aventure, nous égarons quelque peu et à l’aide de personnes rencontrées , retrouvons, avant la pluie notre camping.

Jeudi : Barcelos, en évitant de prendre l’autoroute payante, puisque nous n’avons pas fait la démarche de nous enregistrer. Nous n’irons pas dans cette direction, cette année. C’est le jour de marché, et la place est entourée des panneaux aux noms des localités voisines et de leurs associations religieuses, sportives ou culturelles. Cela nous avait surpris en 2018. Cette ville est célèbre pour son coq. Par cet emblème et ce marché, on y retrouve le Portugal, avec ses petites marchandes âgées, quelques une, habillées de noir et fichu sur la tête, vendant leurs légumes, fruits, fleurs, fromage ou saucisses…Dans une ruelle, à la recherche d’un restaurant, on nous a conseillé une adresse. Sur deux étages, avec le chien, et servi par des  jeunes angolais, nous y avons mangé une bacalhau à casa (frite, à l’oignon, avec une salade de chou nouveau et des pommes de terre frites) pour 12,50 €. J’ai précisé avec le chien, car une dame parlant français est venu nous dire qu’en général, ils ne sont pas autorisés au restaurant. Nous nous installons souvent en terrasse, mais pour le coup, c’est le patron qui nous a montré un panneau les autorisant à être accueilli.

La bacalhau et les souvenirsLa bacalhau et les souvenirs

La bacalhau et les souvenirs

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9 - PONTE DE LIMA ET VALENCA

Publié le par nomades5876

Azulejo de Valença

Azulejo de Valença

 

 Dimanche 12 ,lundi 13 et mardi 14 mai :

A l‘intérieur des terres, avec quelques tournants, nous retrouvons les forêts d’eucalyptus, vues comme un poison par le gérant du camping. Cela boit 200 l par jour, et cela grandit très vite. Les abords des routes sont nettoyés, n’oublions pas que cela brule bien. Nous en avons eu l’expérience à cette époque, mais de loin. Arrivés à Ponte de Lima, forte affluence, beaucoup de cars, il y a une foire à tout, mais difficile de faire concorder les deux. Il sera difficile de trouver une place au restaurant et d’être servi « rapidement », nous optons pour des sandwichs jambon, fromage mais très roboratifs. Molêne nous a donné un coup « de main ». Nous trouvons des coupes à champagne sympathiques, enveloppées avec soin et avons été surpris par le nombre d’objets religieux, mis en vente …A vrai dire, pas tant que ça, vu l’importance de la religion, mais difficile d’imaginer les « nombreux » acheteurs potentiels.

Lundi : Temps maussade et même pluvieux. Promenade sous les pins en bordure du Mino, et l’après midi au bord de la plage au fort du chien. Sur cette plage, nous retrouvons les grandes promenades en bois, avec le souci qu’elles ont mal vieillies, que les lames se soulèvent et sont cassées pour certaines, le travail de remplacement semble colossal face à l’ampleur de la tâche et nécessitera un fort budget… Les fonds européens … ? Pour conclure cette journée, un peu de réconfort, nous avons retrouvés des ovos moles et découvert le pao de lo cremoso, deux douceurs , faites de sucre et de jaune d’œufs …. D’ autres « tueries ».

Mardi : Le temps se gâte en arrivant à Valença, c’est sous une pluie battante que nous reprenons contact avec la forteresse du XVIII ème siècle et ses boutiques. Nous y étions venus en 2018, un dimanche. L’ambiance est différente, le linge de maison fait toujours la renommée du lieu. C’est, mêlé aux touristes espagnols (venus en voisin) que nous y faisons nos emplettes.    

Ponte de Lima et Valença et ses boutiques dont certaines pour pélerins
Ponte de Lima et Valença et ses boutiques dont certaines pour pélerinsPonte de Lima et Valença et ses boutiques dont certaines pour pélerins

Ponte de Lima et Valença et ses boutiques dont certaines pour pélerins

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8 - VIANA DO CASTELO

Publié le par nomades5876

Les moulins

Les moulins

Vendredi 10 et samedi 11 mai

Décidemment !! En 2015, mon épouse avait perdu un chapeau de paille acheté en Espagne, suite à un coup de vent devant la basilique Santa Luzia de Viana do Castelo. Dans le blog de l’époque, j’avais photographié un superbe chapeau bleu acheté au marché du vendredi et ce jour….Rebelote, le soleil étant de la partie, une nouvelle acquisition est à signaler, pour la somme identique de 5€. Pour ma part, ce sera une ceinture de cuir et pour la maison une nappe. Au retour, nous poussons en bord de mer pour refaire la route des moulins,  retournés à la pâtisserie Pétinea Doce pour y acheter la spécialité locale les sidonios (pâte feuilletée, pate d’amande, jaune d’œuf et sucre), une tuerie diraient nos enfants.

Samedi : Fort de notre blog, nous pouvons tenter de ne pas refaire les mêmes erreurs, mais nous pouvons également retrouver de bonnes adresses. A vérifier cependant, car notre dernier séjour date de 2018 … Nous avions dégusté une excellente bacalhau con broa à Amorasa, près de Viana Do Castello. Le restaurant est toujours le même, sert toujours du poisson, mais diffuse «  à fond » ou « très fort » une musique d’ambiance, style rap…Pour animer, comme nous a expliqué une dame parlant très bien français, et  ayant la gentillesse de nous donner d’autres adresses. Ce fut un excellent choix, au niveau de la qualité, mais le calme, ici, avait certainement gagné les cuisines, car nous n’étions que quatre tables, mais nous avons attendu plus d’une heure la cuisson de notre bacalhau, accompagnée de pommes de terre nouvelles et de tétragone. Comme quoi ! Autre changement, et pas des moindres, le trait de côte se retire, les accès à la dune se terminent par des escaliers rompus par les vagues. La dernière marche est très haute…Des géotextiles servent de protections, jusqu’à….La prochaine tempête.

C’est le weekend, des familles s’installent au camping. Près de nous trois générations s’apprêtent à passer la nuit, une des petites schtroumfettes est venu voir notre caravane et a été reçu avec bonheur par notre chienne.

Chapeau et alambicsChapeau et alambics

Chapeau et alambics

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7 - ARRIVEE AU PORTUGAL

Publié le par nomades5876

Vila praia de ancora

Vila praia de ancora

Mercredi 8 et jeudi 9 mai 2024 :

Démarrage en côte !!! Ca y est, nous sommes arrivés au Portugal, avec une heure d’avance, puisque les portugais, ne changent  pas d’heure, l’été. Nous aurons mis plus de 15 jours pour y parvenir, il en sera de même pour remonter. Nous resterons donc une dizaine de jours. Le camping est toujours aussi agréable. On se place où l’on veut, sous les eucalyptus. Son prix est très abordable, 13 € par nuit, un seul regret, nous n’avons plus le wifi sur les emplacements. Nous y avions séjournée trois semaines en 2018. Nous devrions y rester une dizaine de jours. C’est le jour du marché à Caminha, nous avons eu la confirmation, en passant devant, à l’aller. Nous nous sommes vite plongés dans la vie du Portugal, avec l’achat des légumes et fruits «  de leur jardin », annoncé avec une grande fierté. Des pasteis de nata, du mateus (petits flans et vino verde) pour être très local et voilà, c’est parti. On s’installe et Molêne a déjà repris ses habitudes, dans l’eau limpide du petit fleuve.

Jeudi, petit tour au marché aux poissons, nous y trouvons une bonite (thon blanc) de 1,8 kg pour 11 € (6 €/kg). Cela fera quelques repas, nous l’accompagnons des légumes « du jardin », petits pois mange-tout, fèves, pommes de terre nouvelles, et pour terminer oranges et mandarines. Nous retrouvons comme les années précédentes des pèlerins portugais qui se dirigent vers St Jacques de Compostelle, mais nous avons été surpris, d’y rencontrer une maman et ses trois jeunes enfants, qui font 8 à 10 km par jour. Avec leur accord, je les ai photographiés, de dos.

Les réalisations d'une école et la petite famille en" pèlerinage"Les réalisations d'une école et la petite famille en" pèlerinage"

Les réalisations d'une école et la petite famille en" pèlerinage"

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7 - ARRIVEE AU PORTUGAL

Publié le par nomades5876

Vila praia de ancora

Vila praia de ancora

Mercredi 8 et jeudi 9 mai 2024 :

Démarrage en côte !!! Ca y est, nous sommes arrivés au Portugal, avec une heure d’avance, puisque les portugais, ne changent  pas d’heure, l’été. Nous aurons mis plus de 15 jours pour y parvenir, il en sera de même pour remonter. Nous resterons donc une dizaine de jours. Le camping est toujours aussi agréable. On se place où l’on veut, sous les eucalyptus. Son prix est très abordable, 13 € par nuit, un seul regret, nous n’avons plus le wifi sur les emplacements. Nous y avions séjourné trois semaines en 2018. Nous devrions y rester une dizaine de jours. C’est le jour du marché à Caminha, nous avons eu la confirmation, en passant devant, à l’aller. Nous nous sommes vite plongés dans la vie du Portugal, avec l’achat des légumes et fruits «  de leur jardin », annoncé avec une grande fierté. Des pasteis de nata, du mateus (petits flans et vino verde) pour être très local et voilà, c’est parti. On s’installe et Molêne a déjà repris ses habitudes, dans l’eau limpide du petit fleuve.

Jeudi, petit tour au marché aux poissons, nous y trouvons une bonite (thon blanc) de 1,8 kg pour 11 € (6 €/kg). Cela fera quelques repas, nous l’accompagnons des légumes « du jardin », petits pois mange-tout, fèves, pommes de terre nouvelles, et pour terminer oranges et mandarines. Nous retrouvons comme les années précédentes des pèlerins portugais qui se dirigent vers St Jacques de Compostelle, mais nous avons été surpris, d’y rencontrer une maman et ses trois jeunes enfants, qui font 8 à 10 km par jour. Avec leur accord, je les ai photographiés, de dos.

Les réalisations d'une école et la petite famille en" pèlerinage"Les réalisations d'une école et la petite famille en" pèlerinage"

Les réalisations d'une école et la petite famille en" pèlerinage"

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6- LA GALICE

Publié le par nomades5876

Praia das catedrales

Praia das catedrales

Dimanche 5 et lundi 6 mai :

Camping incontournable depuis que nous l’avons découvert en 2012, en Galice, très proche des Asturies, nous nous y arrêtons à chaque fois donc en 2012, 2015, 2016 et 2018, quelquefois à l’aller et au retour. C’est le Gaivota camping, très familial, petit et très bien entretenu. Quelques petites modifications, ont été faîtes, dont nous avons profité comme une terrasse couverte. Nous y avons mangé une tortilla con patatas et une omelette aux algues.

La région n’est pas trop touristique, si ce n’est la praia das Catedrales, grottes naturelles dans les falaises. Nous aimons cette côte venteuse et sauvage. Une promenade très bien aménagée, et  équipée permet de longer et surplomber les falaises. En 2012, nous étions dépités de voir, que c’était mal entretenu et nous pensions que les fonds européens, avaient été quelque peu « gaspillés ». Mais surprise cette fois, c’est réparé, équipé, tondu….Seul les éclairages semblent défaillants, ainsi que les douches aux sorties des plages. Plages interdites TOUTE L’ ANNEE aux chiens (comme dans toute l'Espagne) et…. consigne non respectée, surtout comme en ce moment, où il n’y a personne. Nous en avons discuté avec quelques espagnols. Sur la plage, la chaise bleue est toujours là ! (Ceci pour les fidèles lecteurs du blog)

Une autre info, le diésel est à 1,60 € ou 1,55 € et au distributeur il me prévienne de la taxe que je paierai, pour retirer de l’argent : Dans l’un, pour 150 € les frais étaient de 1,90 €, dans un second 2, 50€. le montant étant majoré en conséquence….

Nous sommes retournés dans la campagne voir la basilique romane de San Martin de Mondonedo du XIIème siècle, ou la tradition veut qu’un évêque nommé Gonzalo, aurait miraculeusement mis en fuite, une flotte viking. Jour de fermeture oblige, nous ne l’avons pas visité, cette fois ci.

 

Non respect des consignes, même en tournant le dos !Non respect des consignes, même en tournant le dos !

Non respect des consignes, même en tournant le dos !

Sur cette plage, il faut avoir "envie" de secourir son prochain, au risque de tomber de la falaise ...

Sur cette plage, il faut avoir "envie" de secourir son prochain, au risque de tomber de la falaise ...

Mardi 7 mai :

Dernière journée en Espagne et en Galice, avant l’arrivée au Portugal. Pas facile de trouver un camping de la chaîne ACSI, alors qu’il y beaucoup de campings sur cette péninsule d’ O’Grove, très appréciée par les espagnols. Une vingtaine de plages de sable font, qu’on surnomme Sanxenxo : la Marbella de Galice. Peu de place, pour les touristes de passage, car les caravanes et leurs dépendances attendent le weekend end pour accueillir tous les habitués. On retrouve la disposition et l’installation propre à ces campings de bord de mer. Mais, il n’y a personne et on en profite…Celui-ci est l’O’Espino , à San Vicente do Mar. Nous sommes allés revoir le camping Paxaninas à Sanxenso, qui nous avait déplu en 2015, par son côté « lendemain de tempête » ou « laissé à l’abandon ». Rien de changé sous le soleil, on se demande comment peut il avoir l’accréditation ACSI et demander 23 € la nuit.

Un peu de culture : au programme un castro (celui de Lanzada) comme nous en avons vu au Portugal, il fut bâti au VIII ème siècle avant JC et une chapelle romane dédiée aux femmes stériles. Le remède : au dernier weekend d’août, il faut entrer dans la mer et attendre la neuvième vague. 9, chiffre important chez les celtes …

Le castro, les emplacements privatifs et la chapelleLe castro, les emplacements privatifs et la chapelle
Le castro, les emplacements privatifs et la chapelle

Le castro, les emplacements privatifs et la chapelle

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5 - LES ASTURIES

Publié le par nomades5876

Un tyrannosaure

Un tyrannosaure

Vendredi 3 et samedi 4 mai

Anniversaire de notre fille et sans nous ou sans elle, car parents indignes, nous sommes encore en voyage….Nous pensons à elle, 47 ans et 74 ans, a qui les attribue t’on ? Une toute petite étape de 69 km, pour retrouver Ribadesella, au camping playa de Ribadesella. Camping ACSI pour 21 €, alors que le précédent, ACSI  était à 23 €.Nous sommes allés à Terenes revoir les empreintes de dinosaures, mais marée haute et chemin glissant sur la falaise. Prudence donc, à l’image du camping où il faut choisir son emplacement, en fonction de l’absorption du terrain.  Forte ambiance au camping, où 95 jeunes résident pour la semaine avec activités nautiques sur le fleuve Sella. Depuis 1930, une compétition de canoë s’y déroule.

Samedi, après une nuit pluvieuse et toujours fraiche, voilà le retour du soleil, nous finissons l’après midi à 23 ° .Journée dinosaures, puisque nous visitons le musée du jurassique des Asturies de Colunga. Pour 4,75 € (prix senior), nous repartons il y a 250 millions d’années avec le triassique, le jurassique et le crétacique,  pour nous concentrer sur la période du jurassique, avec les découvertes asturiennes, d'il y a 150 millions d’années. Nous sommes très intéressés par les moulages d’empreintes, que nous avions eues du mal à découvrir sur le terrain, en 2015. Les squelettes ou animaux reconstitués sont très impressionnants. Fort de cette documentation, nous sommes retournés sur le rivage, l’après midi pour tenter de découvrir des empreintes, sans résultat, mais non sans reconnaître des fossiles de coquillage.

Pour la rencontre d'aujourd'hui, nous avons sélectionné un de ces nombreux pèlerins de la route de St Jacques de Compostelle. C'est un taiwanais qui a posé pour la photo. Certains chemins sont bien balisés et agréables, mais il reste des portions délicates ,où ils doivent longer les barrières de sécurité et éviter les voitures. 

 

La "sécheresse" aux Asturies et les empreintes
La "sécheresse" aux Asturies et les empreintesLa "sécheresse" aux Asturies et les empreintes

La "sécheresse" aux Asturies et les empreintes

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4 - LA CANTABRIE

Publié le par nomades5876

Les arcades de San Vicente de la Barquera

Les arcades de San Vicente de la Barquera

Mercredi 1er et jeudi 2 mai :

Quatre journées de « repos », une roue jockey neuve achetée à Torrelavega et  du soleil, voilà de quoi redonner du tonus….Vive San Vicente ! Nous allons avancer de nouveau  de 60 km, pour redécouvrir la région de Ribadesella. Nous allons, sans doute, changer de camping, par rapport aux années précédentes. Notre projet actuellement, n’est peut être plus de rester uniquement en Espagne, mais de se donner le temps et en fonction de nos forces de retrouver ce point de chute, qui nous avait tant séduit au Portugal. Direction donc, vers la frontière, vers Vila Praia de Ancora, si possible, avec retour pour la mi- mai.

 Pendant notre séjour ici, nous sommes retournés vers cette destination incontournable, qu’est Santillana del Mar. Cela change, la ville s’équipe de parkings payants (2 €, la journée), les touristes sont toujours très nombreux et ce 1er mai, on y retrouve les espagnols. Au coin d’une rue, un avocatier était couvert de fruits, nous en avons acheté et attendons qu’ils murissent. Dilemme, un commerçant nous a dit : no bueno to comer et le vendeur no bueno, buenissimo !!!! A nous de juger ! Un groupe d’espagnoles a posé pour nous, fières de leurs déguisements, conçus pour un enterrement de vie de jeune fille. Nous nous sommes posés le midi dans la huerta del indiana, pour y déguster une paella (très peu garnie) des bouletttes de morue, de la bacalao à l’aïoli (bien sûr, c’est encore de la morue) et un quesada ou une tarte au fromage pour 23 € boisson comprise,  dans un cadre superbe et reposant. D’autant plus, que la curiosité nous avait fait retourner au camping de Santillana. Peu de changement, peu de client et nous avons été sollicité pour manger un completo combinado pour 18 €. Rien de comparable.

Dernières nouvelles : J’ai la réponse au sujet des avocats. Le premier que nous avons mangé était excellent, et nous comprenons mieux l’explication du vendeur, qui nous disait que ce commerçant était jaloux.

L'avocatier, les jeunes filles et le restaurant de Santillana del marL'avocatier, les jeunes filles et le restaurant de Santillana del mar
L'avocatier, les jeunes filles et le restaurant de Santillana del mar

L'avocatier, les jeunes filles et le restaurant de Santillana del mar

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3 - L'arrivée en Espagne

Publié le par nomades5876

Maisons de Comillas.

Maisons de Comillas.

Dimanche 28 et lundi 29 avril

L’heure des doutes et des constats : Le pays basque espagnol est toujours difficile d’accès. Les dos d’âne qui inondent nos villes et villages sont quelquefois très hauts et n’apprécient guère les roues jockey des caravanes, on touche…Pour accéder au camping de Zumaia le camping et bungalow Zumaia, une côte étroite, avec des virages, pour atteindre la barrière d’entrée, quelle galère pour la conductrice. L’après midi, rebelote, des rues bondées de voitures stationnées, des ralentisseurs nombreux, de la circulation, ne nous ont pas permis d’accéder aux plages, car il y en a deux. Retour au camping, pour terminer par une promenade champêtre. Lundi, c’est la roue jockey qui s’est coincé dans le caniveau en béton et après 211 km de route, une arrivée sous le regard de la guardia civil qui veillait au rond point, avec nécessité de bien se comporter. Pour conclure, une erreur de camping nous a contraints à dételer.

Nous allons nous reposer au camping très agréable de San Vicente de la Barquera le caravaning Oyambre. Nous y avons déjeuné pour 19 € par personne : Des calamars grillés, du merlu frit avec de la salade, un riz au lait et une tarte au fromage, bière comprise. Il y a 6 ans, c’était 15 €. Un petit chemin, où l’on croise des pèlerins en route pour St Jacques de Compostelle, nous emmène à la mer et un champ nous est réservé pour les chiens en mal de liberté. Que du bonheur !

Mardi 30 avril

Prendre la route avec la caravane  pour un long trajet, c’est sortir de sa zone de confort, nous le savons et aimons cela, qui plus est, à l’étranger. Dans les conditions actuelles, cela devient difficile. Pour les amis, qui devaient nous rejoindre au Portugal, le constat est le même. Nous sommes en Cantabrie, la région regorge de petits villages pittoresques, nous allons y rester encore quelques jours, puis nous resterons en Espagne, en favorisant les trajets courts et les séjours plus longs sur les campings, en nous ménageant et nous protégeant. Pas de Portugal, cette année....

Le champ "privatif" et la plage de Cormillas
Le champ "privatif" et la plage de Cormillas

Le champ "privatif" et la plage de Cormillas

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